Si plus de jeunes écrivent, plus de jeunes lisent
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Aliz Solim Bodjona

Aliz aura bientôt 15 ans et étudie au collège privé Esther Blondin dans le programme d’éducation internationale. Elle accorde beaucoup d’importance à ses études et se présente comme une personne déjà très minutieuse. Elle rêve de travailler dans le domaine des arts, le dessin étant sa plus grande passion. Elle aimerait tenter sa chance comme illustratrice dans une  maison d’édition… mais elle ne reste jamais bien loin du texte.

En effet, elle dévore des romans depuis son plus jeune âge et parmi mes meilleurs souvenirs d’enfance figurent les soirs où sa mère lui lisait des histoires avant le coucher. Elle laissait alors libre cours à son imagination, essayant de se représenter les dragons cracheurs de feu et les princesses en danger. Comme sa mère est d’origine russe, elle lui a fait découvrir une autre facette de la littérature internationale. Beaucoup de ses livres préférés sont d’ailleurs écrit dans cette langue. Son père étant de nationalité togolaise, il n’était pas en reste. Il lui transmettait les contes de son village d’Afrique en s’accompagnant du tama (appelé aussi «tambour parlant»).

C’est son amour des animaux qui l’a fait répondre à l’appel de manuscrits «Trois héros, douze pattes».

Histoires de bêtes et d'humains
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Réalisme et suspense
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Sujet fétiche : amitié
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Ce que l’on dit des jeunes auteurs

« Il n’y a personne comme une enfant pour parler aux enfants. Une vieille dame de 111 ans eût écrit un tel récit, dans ce style personnel qui nous parle avec le bruissement d’une petite voix, qu’on lui décernerait le Prix Femina. »
(Luc Proulx, La Voix des Mille-Îles, au sujet de Laura Cousineau)

Les jeunes ne sont pas que des consommateurs de littérature, ils sont également des artisans.
(Claudie Bugnon, dans une entrevue donnée à Livre d’ici, en mai 2009)

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